Augustin Hadelich a enregistré avec brio en 2017 le Concerto pour violon de Brahms, oeuvre maîtresse du répertoire de la seconde moitié du XIXe siècle. Sa longue mélodie confiée au hautbois, dans le deuxième mouvement, et son finale à la manière tzigane, font de ce concerto un modèle de tendresse
et de vigueur. Il précède ici la Dixième Symphonie de Chostakovitch, première partition du genre signée par le musicien russe après la mort de Staline, qu’emmènera le chef polonais Krzysztof Urbański. Le compositeur y utilise les lettres DSCH, qui en allemand désignent des notes de musique et forment sa signature, comme s’il affirmait à Staline, selon l’interprétation d’Andris Nelsons : « Tu es mort, mais moi je suis toujours vivant ! »
Tourbillon de danse et Hans van Manen à l’honneur à Sarrebruck
Outre les opéras, dont celui de Siegfried a débuté le 23 février dernier, et les nombreux concerts symphoniques, la programmation du Théâtre...
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